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Dossiers de presse 2008



                                               Festival Flamenco de Toulouse

                                               du 29 mars au 6 avril 2008














Edito


La France a toujours été attirée par la culture espagnole. C’est notre pays qui au siècle dernier accueillit Picasso et le fi t persévérer dans sa création. L’Espagne fi t la même chose avec Ravel qui fut fasciné par le fl amenco et la musique hispanique. Dans cet échange d’amour et de mésentente qui a existé entre ces deux pays limitrophes, c’est aujourd’hui le fl amenco qui est à l’honneur. Les artistes fl amencos ont trouvé de l’autre côté des Pyrénées une seconde patrie et un public passionné. C’est que le fl amenco interpelle. Il a un côté sauvage, terrien, brut. C’est un art sophistiqué, mais qui ramène à des émotions spontanées, vivantes. Les gens sont touchés par sadimension naturelle. Beauté, profondeur, émotion, le flamenco, c’est un peu tout cela à la fois ; tellement vivant et pourtant, paradoxalement, parfois mélancolique. Pour sa 7e édition, le Festival Flamenco de

Toulouse sort son tapis de velours rouge et se pare de ses plus beaux habits de lumière. Du 29 mars au 6 avril 2008 il met la ville rose à l’heure espagnole et nous propose de faire découvrir cet art musical et dansant qu’est le flamenco. Le spectacle d’ouverture nous ramène à la plus pure tradition gitane, un fl amenco séducteur, rebelle, passionné, spontané et par-dessus tout aristocratique avec les danseurs Farruco y Barullo. Plus que les successeurs de leur célébrissime grand-père, ils en sont le prolongement. Un moment très attendu par les afi cionados... Nous irons aussi fl âner dans les rues de Sabadell avec le guitariste Kiko Ruiz que la ville de Toulouse peut s’enorgueillir de compter parmi ses citoyens. Notre poète aux six cordes invite la chanteuse gitane Carmen Gabarre pour un récital de cante puro et intimiste. Nous ferons ensuite une halte à Malaga la bella dont est originaire la danseuse Rocio Molina. La jeune andalouse est comme le parfum des fleurs de sa terre : enivrante et mystérieuse. Et pour terminer en beauté notre voyage, nous nous rapprocherons de Toulouse en faisant un dernier arrêt à Barcelone, afi n d’écouter un flamenco fait de fer et de feu... Celui du chanteur gitan Duquende dont la beauté ardente de son cante jondo en fait l’un des chanteurs les plus en vogue de sa génération.



Maria Luisa Sotoca - Directrice Artistique


DE PAR LE FESTIVAL AU JOUR LE JOUR…


Farruco y Barrullo

L’aristocratie flamenca

Samedi 29 mars 2008

Halle aux Grains à 20H30

La soirée d’ouverture illustre bien l’esprit du festival. Un lever de rideau d’apothéose avec la tornade Farruco et Barullo, héritiers directs du grand danseur gitan El Farruco disparu en 1997. Barullo, regard noir, albatros de jais semble moulé dans le bronze ; Farruco, sourire d’acier, flamme incandescente... Leur flamenco est un flamenco séducteur, rebelle, passionné, spontané et par-dessus tout aristocratique. Ils sont tous deux pourvus de ce pouvoir, ce feu sacré que l’on appelle le duende. Un moment de rare jouissance esthétique,

orchestré par des marquis habillés de costumes en taffetas de soie et de jabots comme au siècle dernier. Deux Princes félins totalement possédés, déroulant un jeu de séduction tout en mitraillant le sol de leurs pieds. Un spectacle de danse ciselée et porté par une équipe exceptionnelle remettant les choses à leur place, redonnant au flamenco une vérité crue, loin des académismes dans lequel il s’enfonce souvent. Ces Sévillans sont tout simplement ravageurs... Un moment d’exaltation et de pureté.


En partenariat avec Les Grands Interprètes.



Kiko Ruiz invite Carmen Gabarre

Les racines de l’âme

Jeudi 3 et vendredi 4 avril 2008

Espace Croix Baragnon à 20H30

…La calle (rue) Sagunto est la plus gitane du quartier de Can Puiggener à Sabadell, banlieue de Barcelone. Les enfants courent, jouent dans les rues ; sur les portails, on peut voir des cages à oiseaux suspendus et des pots de fleurs aux entrées des maisons. Comme autrefois, le quartier chante et danse sa vie quotidienne. C’est dans cette médina pleine de vie que réside Carmen Gabarre ainsi que la famille de Kiko Ruiz… Nous avons pu écouter Carmen dans le 1e disque de Kiko « Cuerda y Madera ». Plus récemment, elle a participé à l’émission « Gente de Primera » sur TVE1 et enregistré son premier album qui sortira cette année en Espagne. Pour Carmen Gabarre, le fl amenco c’est toutesa vie ; au fil du temps, elle y a puisé toutes les richesses pour exprimer aujourd’hui ce qu’elle a dans les tripes et dans le coeur. Elle est belle, pleine de vie, sa voix est puissante, sincère, tout en elle respire le flamenco… Invitée par son cousin Kiko Ruiz, elle nous offre un récital de cante entre tradition et modernité.


En partenariat avec L’Espace Croix Baragon.



Rocio Molina, Une fleur aux mille couleurs

Preludios varios

Samedi 5 avril 2008

Salle Nougaro à 20H00

Du haut de ses 20 ans, Rocio molina domine déjà tout… La danse classique, l’école Bolera, le jazz et le flamenco. Certains disent d’elle qu’elleest la Kandinsky de la danse flamenca, d’autres la voient comme étant tout simplement un génie mais le terme est encore faible. Disons que c’est plus que du flamenco, plus que de la danse contemporaine. C’est tout cela à la fois et bien plus encore : une esthétique, une émotion, une profondeur, une vérité. Rocio offre un flamenco qui allie une technique parfaitement maîtrisée avec des chorégraphies modernes et personnelles. Tantôt enjôleuse, tantôt féline, elle déploie une aisance déconcertante sur scène et nous livre son univers le plus intime, sans artifi ce ni fauxsemblant. Quand elle pose son pied au sol, la scène se transforme en un jardin aux mille

et une fleurs. Nul ne sait où Rocio Molina s’arrêtera. Eva La Yerbabuena, la grande Eva, ne rate aucune de ses apparitions. Alors, amateurs ou simples curieux, venez la découvrir !...


En partenariat avec la Salle Nougaro.



Duquende Flamenco de fer et de feu

Mi forma de vivir

Samedi 5 avril 2008

Salle Nougaro à 22H00

Né à Sabadell (Barcelone) dans une famille gitane, Juan Cortés Santiago Duquende est monté pour la première fois sur scène à l’âge de 8 ans, invité par le mythique Camaron de la Isla. En 1992, Il commence une brillante carrière professionnelle qui l’amènera sur les plus grandes scènes puis, à la demande du Maestro, il rejoint la formation de Paco de Lucia pour de multiples tournées. C’est que Duquende est l’une des plus grandes voix flamencas du moment. Il chante le fl amenco comme si toute sa vie en dépendait, entre magie, inspiration et technique. Comme son mentor Camaron il sait être novateur bien qu’enraciné dans le flamenco puro. Quand sa voix gitane s’élève, âpre, cassée et si expressive, le duende submerge les coeurs, nous tord le ventre et nous laisse les yeux brillants. Celui qui fut autrefois encouragé par Camaron et accompagné par Tomatito et Paco de Lucia retrouve pour son troisième album son compagnon de route le guitariste Chicuelo. Ce dernier signe la direction artistique, une belle part des musiques et des textes et accompagne Juan Cortés Santiago au sommet de son art. Tout au long de Mi forma de vivir, qu’il nous présente en exclusivité française pour la 7e édition du festival flamenco de Toulouse, Duquende excelle dans un flamenco simple, lumineux et joyeux.


En partenariat avec Flamenco Production et la Salle Nougaro.





Contacts

Association Peña Alma Flamenca

Bureau du festival flamenco de Toulouse

tél. 05 34 25 81 21 ou cliquez ici