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Irréel ce flamenco ? Non pas vraiment… Nu, pelé, décharné, noir, cinglant, projeté dans les abysses des pensées noires qui nous hantent au moment de se retourner sur notre Histoire. Celle de l’Humanité, celle qui font basculer et qui tendent vers l’exaction… Comment parler de flamenco, de danse moderne, contemporaine… ici cela n’a pas d’importance, ce n’est pas le débat. D’ailleurs pourquoi débattre, il n’y a pas le temps. Par contre il y a un message collectif contre l’oubli que sans nul doute notre inconscient reçoit et doit maintenant digérer. Allégorie. Laboratoire infernal de persécution, camps du souvenir, insouciance et légèreté de réclame, mais poids de l’Histoire. Une carcasse de piano qui se transforme en ring ou en barbelés ? Barre de métal ou autres matières tantôt rails tantôt instrument d’instrumentalisation… vers une idéologie qui donne tous les droits… Clarinette, violon, guitare, palmas, voix et puis bruits stridents… caisses de « wagons » à bétail… bruits stridents, crissant comme les cordes du violon et des disques d’opérettes… Ici on fait de la réclame, on étudie le jeu de la pureté, oui on épure les complexes de l’extermination… por soléa et autres palos… Israel Galvan nous montre, entouré des danseuses Belén Maya avec ses sabots de bois et Isabel Bayon dans son « cabaret » peu affriolant mais si remarquablement dansé que l’on se joue de la vie et de la mort… exterminer est une exaction en soi et cela fascine et atterre… On fauche, on construit, on théorise… le bras tendu par le ciel s’effondre ou fend, les visages dessinent et puis effacent. Tomás de Perrate et David Lagos chantent, Chicuelo toca et Bobote jalea avec son complice Caracafé. Et puis l’innocence, légère comme un insecte, intermède dansé de la Uchi… L’équilibre semble une réclame de propagande ou une composition au piano, c’est le collectif qui se mûre dans la pensée commune… suivons le violon comme une œuvre Wagnérienne… que nous portons en nous comme un ADN… c’est notre histoire celle des tziganes, roms, gitans et tout être persécuté au nom d’une idéologie… celle que nous devons rapporter, celle qui fait que la vie est précieuse mais toujours sur le fil d’un rasoir…

Il n’y a pas grand-chose à dire… ce langage est universel, il résonne dans la mémoire collective comme une onde de choc… Certes, cela ne peut pas plaire à tout le monde, mais c’est bien cela qui tend à rendre le sujet grave, intense et certainement, comme une spirale, nous porte vers des parallélismes inévitables de notre époques.


In meiner Strasse dort ist eine Tür, für wo man hineingeht, und Sie kommen nicht heraus…

En mi calle hay una puerta por donde se entra y no se sale…

Pensamientos de ayer para mañana:

Ya hemos pasado por ese túnel

Con muchos wagones

Ferrocarril…

Mientras mis ojos parpadean

Mueren en mis entrañas pensamientos proprios

Me duele el alma

A cada uno sus ideas

Nuestra es la responsabilidad

Se levantan muros, paredes y palabras sin sentido

Israel es un mundo proprio, con un lenguaje arropado

Así sea su libertad




M. Morillas










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Dossier de presse Festival Flamenco de Nîmes 2014 cliquez ici

  

Israel Galván

Lo real

10 janvier

Théâtre Bernadette Lafont