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Articles et reportages 2011

Israel Galvan

La edad de Oro

6 juillet 2011    

Café Cantante                                                                                                                                    









                                                                                                                   

  © Joss Rodriguez



Galván… G.A.L.V.A.N, Israel Galván, hier soir sur la scène du Café Cantante, après les Master Class et le flash-mob, Mont-de-Marsan a ovationné La Edad de Oro d’Israel. Bis et rebis et encore rebis, suivi d’un échange en bord de scène. Mais revenons aux sentiments transmis par le maestro et j’ai envie de dire le psychiatre, le chercheur, l’explorateur-mime et poète du compás. C’est la troisième fois que nous re-découvrons ce spectacle, La première fois avec Fernando, puis tout au début de la reprise in extremis de David Lagos au chant. Toujours Alfredo à la guitare. Mais pour ce spectacle-ci, je ne saurais vous dire combien ils étaient sur scène, j’ai commencé à compter, il y avait bien sûr… Israel, j’ai vu aussi Alfredo, c’est celui qui est entré accompagné de sa guitare, il y a aussi son frère je crois, oui celui aux cheveux mi-longs ondulés..,De Jeré ? Oui, il chante bien la bulería, d’ailleurs il en a fait une c’était mortel ! Tout seul ! Et la siguiriya, je te raconte même pas… il a tout donné ! On aurait dit que Fernando était là. Ah, cela fait donc déjà quatre sur scène. Israel il compte pour plus, tu as vue avec un seul geste, une mimique le nombre de personnes qui sont sorties de lui ? Oui c’est vrai… tu as raison, moi j’ai même reconnu le clin d’œil à sa mère. Et puis le son, dommage peut-être qu’Alfredo ait décidé de se battre avec son micro, il y a des jours comme ça… Ah et j’allais oublier, mais la scène ne sonnait pas pareil à gauche ou a droite et encore différemment au milieu. Cela allait de grave et caverneux à aigu presque piquant, serait-ce expérimental ? Je ne sais pas, mais cela n’a rien enlevé au panache, à la finesse et à la puissance du maestro qui font que lorsque qu’il dessine un silence ou qu’il balaie de ses « ailes » flamenca l’espace qui l’entoure, cela donne l’impression que vide n’est finalement qu’un espace contextuel entre tradition et progression, et qu’entre le visible et l’invisible, l’espace ténu qu’il nous laisse ne se remplira qu’au fil de la soirée, bien après la fin de la représentation… mais seulement si l’on en a envie. Sinon, il se peut même que l’on se dise… « porqué un cante y un toque tan flamenco con un baile tan progresista ? A mí no me llega… » Je comprends, mais je n’adhère plus. Israel avec son flamenco no es « un ultimo estado de cosas, redux », mais bien plus una « Curva » dans le baile, dans la vision et dans la section encore peu explorée de la psychiatrie flamenca. Olé tú que desde ahí arriba lo ves y lo sabías F….. 



J.M. Izquierdo









Galerie photos : Festival Arte Flamenco Mont-de-Marsan, Israel Galvan
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