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Flamenco-Events Dossiers de presse 2010 Festival Flamenco de Nîmes 2010 le 23 janvier et au-delà de la scène

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Dossiers de presse 2010

Festival Flamenco de Nîmes du 7 au 23 janvier 2010

Le 23 janvier et Au-delà de la scène


Chant
Antonio Campos - Concert acoustique
Samedi 23 janvier 2010 à 17h30
Cour d’Appel

Antonio Campos, chant
Dani Méndez, guitare


Le tribunal accueille un des duos les plus impressionnants de 2009, vedettes du Corral de Carbón : la voix puissante d'Antonio Campos alliée au toque "de Morón" de Dani Méndez.

Deux artistes bien placés parmi ceux qui méritent le plus d'attention : Antonio Campos, que tous les danseurs de haut niveau s'arrachent, pour la puissance de sa voix et ses qualités expressives, et Dani "de Morón" Méndez, aussi acteur du spectacle A cinco voces. Dani est héritier du fameux toque de Morón de la Frontera, reçu de Alfonso Clavijo lui-même ancien élève de Diego del Gastor, avec son style de falsetas tout en retenue. La tonalité est puriste et leur performance passionnée au Corral de Carbón, l'ancien caravansérail de Grenade (le seul d'Espagne!), a déjà donné un enregistrement mémorable. Antonio démontre ses racines, la vitalité de son flamenco, lui qui a participé à des projets comme Palo flamenco (fusion de musique basque et de flamenco), Alcantara (pont entre le Maroc et l'Andalousie), Camerata flamenco project aux tonalités jazzy ou Worldflamenco septet. Le tribunal se souviendra de ce concert acoustique donné à la toute fin du Festival.

Né Antonio Campos Muñoz à Tarragona en 1972 de parents andalous émigrés "économiques" en Catalogne, comme tant d'autres. Encore bébé, il s'installe à Atarfe, dans la plaine de Grenade; le flamenco se penche sur son berceau. Il débute comme guitariste à Grenade, jouant pour les académies de danse et dans les peñas où il accompagne les chanteurs. Après quelques essais en tant que cantaor, il est engagé en 1997 au tablao La reina mora del Sacramonte granaino. Progressivement, avec l'aide de Tony Maya, il commence à travailler dans quelques salles à Madrid, Casa Patas, Caracol, Clamores… C'est là que sa carrière prend un tournant vertigineux. Dès lors, il ne s'arrête plus. Il chante pour les étoiles de la danse : Mario Maya , Antonio Canales , Rafaela Carrasco, Merche Esmeralda, Javier Barón, Manuela Carrasco, Isabel Bayón, Ana Cali, Mercedes Ruiz, Rocío Molina, Javier Latorre, Andrés Peña, Manuel Liñán, El Farru, La Moneta, Belén Maya, Marcos Flores, Alfonso Losa, Rafael de Carmen, Adela Campallo, Manolo Marin, Joaquin Grilo… Il participe à des projets originaux et apparaît dans un grand nombre de festivals et de théâtres. On le voit même dans une version de El Amor Brujo de Manuel de Falla au Teatro Nacional de Sáo Carlos, à Lisbonne. Il a contribué à une douzaine de disques, de Grana Baila por Tangos au World-Flamenco Septet. Son premier disque solo est paru en 2009, un "live" enregistré au Corral del Carbón (ancien caravansérail de Grenade) avec Dani Méndez à la guitare.

Un récital bien mérité pour un cantaor de la qualité d'Antonio Campos, qui prête beaucoup sa voix ample mais ne reçoit que lentement la reconnaissance. On pourrait presque en dire autant de la guitare de Dani de Morón, qui émerge seulement comme l'excellent guitariste qu'il est. Au Corral de Carbón, ils étaient sept sur scène mais nul besoin de renfort pour ces deux-là dans un lieu comme le tribunal (il faudrait plutôt les pompiers !). Campos chante avec dévouement, don de soi, hardiesse et recherche. Méndez fait briler son chant. Ils enchaînent malagueñas et cantiñas, siguiriyas, bulerías, taranta, tangos, un répertoire admirable. Chacun a une personnalité suffisamment forte pour donner un flamenco différent quand ils ne sont pas là pour accompagner un danseur. Compás, puissance et délicatesse, tout est là au naturel. De Grenade, Campos a un pied dans le triangle Séville, Jerez, Cádiz, tout en "orientalisant" les palos.



Danse
Rocío Molina - Oro Viejo
Samedi 23 janvier 2010 à 20h
Théâtre de Nîmes
Rocío Molina, Eduardo Guerrero, Moisés Navarro, David Coria, danse
Paco Cruz, Rafael Rodríguez, guitare
Sergio Martínez, percussions
Guadalupe Torres, Vanesa Coloma, palmas
Collaboration au chant Rosario Guerrero « Tremendita »

La meilleure danseuse de la nouvelle génération, celle qui ouvre la nouvelle ère du baile féminin. Rocío Molina allie créativité et courage, force et sensualité.

Rocío, la rosée… On n'aurait pu lui choisir meilleur prénom. La fraîcheur, l'aube du monde, le symbole même du renouveau. Avec génie, Mario Maya a su la mettre en scène dans Mujeres qui clôturait l'édition 2009 du festival de Nîmes. On y contemplait trois générations, trois styles de baile, trois étoiles, Merche Esmeralda, Belén Maya et bien sûr Rocío. A peine âgée de 25 ans, elle a su imposer son style, cette manière de fondre ingénuité et puissance, sensualité et profondeur. "Rocío est plusieurs danseuses en une et détient la stupéfiante capacité d'assimiler à son propre style les formes les plus éloignées" a écrit le critique Juan Verguillos et on avait pu se rendre compte, lors de sa venue en 2008, de la quasi perfection de son Almario, où éclatait "son intelligence, sa créativité et son courage". Elle est bien cette artiste que l'on attendait pour faire entrer le baile féminin dans une nouvelle ère. La critique l'a reconnue mais ce n'est rien en regard des passions qu'elle déchaîne chez un public large, littéralement transporté à chacune de ses prestations. Le monde du flamenco n'a pas manqué de la couvrir de prix. Singulière, unique, belle, hypnotique, elle brille d'une lumière surnaturelle.

Née à Málaga en 1984, Rocío débute la danse à l'âge de 3 ans. Une formation qui s'achèvera en 2002 au
Conservatoire Royal de Danse de Madrid. A 13 ans elle quitte Málaga pour la capitale. Dès 2001, elle part en tournée mondiale grâce au spectacle Las Cuatro estaciones de la compagnie de María Pagés. Son premier spectacle Entre paredes, a été accueilli par le public andalou avec une stupéfaction ravie : une étoile est née. Elle enchaîne avec El eterno retorno au festival de Jerez en 2006, puis c'est Turquesa como el Limón avec la danseuse Laura Rozalén. Elle participe à Andalucía, el Flamenco y la Humanidad dirigé par Mario Maya à la Biennale de Séville. En mars 2007, elle est soliste dans l'hommage à Chano Lobato (80 ans) au théâtre de la Maestranza deSéville. Elle est présente au Festival de Nîmes en 2008 avec Almario. C'est une tornade… Le public est séduit et lui réservera un triomphe l'année suivante lors de son retour avec Mujeres.

Ojo Viejo
OJo viejo a été présenté en 2008 au théâtre Lope de Vega de Séville, lors de la XV Biennale de Flamenco et a reçu plusieurs prix. Le spectacle se présente comme une réflexion sur la course du temps et l'arrivée de la vieillesse, à travers différents thèmes (l'amour, la solitude) qui allient vivacité et profondeur et qui sont "personnifiés" de façon anonyme dans le spectacle. Rocío Molina poursuit donc son travail sur le mouvement, entamé dès les débuts, cette fois le mouvement du temps. Les aiguilles de l'horloge, film muet et d'autres éléments marqueurs du temps enrichissent le scénario. La musique fait référence à des enregistrements historiques du flamenco mais aussi du matériel original de Paco Cruz. Laura Rozalén accompagne Rocío à la danse dans un dialogue entre le passé et le présent, ainsi que deux jeunes danseurs pour le contrepoint, Eduardo Guerrero (vu notamment au Festival de Jerez 2009 avec La Yerbabuena) et Moisés Navarro.
                                     



Chant - Danse
A Cinco voces
Samedi 23 janvier 2010 à 22h30
Odéon
Mari Peña, La Tana, Mari Vizzáraga, La Fabiola, Herminia Borja, chant
Carmen Ledesma, danse
Dani Méndez, Antonio Moya, guitare

Une soirée exceptionnelle à l'Odéon, façon café cantante, donne cette fois la scène aux femmes. Fiesta pour cinq chanteuses, une danseuse et deux guitaristes, finale en apothéose du festival.

A Cinco voces est un projet né naturellement de l'amitié et de l'estime de cinq cantaoras gitanes, aux personnalités distinctes mais complémentaires. Ce spectacle offre un éventail riche de styles flamencos et s'enrichit du baile de Carmen Ledesma.

Mari Peña est une jeune chanteuse d'Utrera pas tout à fait comme les autres, puisqu'elle est l'épouse d'Antonio Moya. Petite-fille de María Encarnación "de la Buena", fille de José "de la Buena" et Francisca "de la Buena", liée à la famille des Perrate, elle a bénéficié d'un environnement flamenquissime depuis son enfance. On ne s'étonne pas de la retrouver, sur scène et avec beaucoup d'aisance surtout dans les palos festifs, auprès d'artistes comme Tomas de Perrate, José Galvan, Pepe Vargas, Curro Fernandez ou Javier Heredia. Elle chante sur le disque collectif "Mujeres flamencas".

La Tana est née Victoria Santiago Borja, à Seville en 1976. Fille de la cantaora Herminia Borja, elle débute sa carrière professionnelle en chantant pour la danse dans les compagnies de Joaquín Cortés et de Farruquito. Paco de Lucía la découvre alors qu'elle chante dans un bar de Séville. Elle participe à l'enregistrement de l'album "Cositas buenas" (2004), dernier album paru de Paco de Lucía. Le maestro d'Algeciras l'intègre à sa tournée mondiale, avec aussi Duquende et Montse Cortés. En mars 2005, elle publie un premier disque solo "Tú ven a mí", produit par Paco de Lucía. La Tana interprète des palos qui relèvent du répertoire festif, comme la bulería, le tango et la rumba, mais aussi la seguiriya et la soleá.

Née à Séville, Mari Vizzáraga a commencé à chanter dans l'espace familial, comme le veut la tradition. Artiste reconnue, elle est réclamée par les grandes figures de la danse comme Manuela Carrasco, Antonio Canales et actuellement, El Farru et Farruquito, avec lesquels elle chanté sur de nombreuses scènes à travers la planète. Pour certains, elle évoque la Paquera de Jerez.

Fabiola Pérez « La Fabiola » est née à Arcos de la Frontera où, dès l'âge de 10 ans, elle chante dans les peñas, festivals et fêtes privées. Elle partage l'affiche avec des artistes tels Manuela Carrasco, El Torta, Manuel Moneo, El Extremeño, El Pele, El Lebrijano, Chano Lobato entre autres. En 2002, elle reçoit le prix "Alegrías y Cantiñas" au concours "Enrique el Mellizo". Elle cite Fernanda et Bernarda de Utrera comme grandes références. On peut la voir dans les tablaos de Séville, Los Gallos, Casa Carmen, Torres Macarena.



Née dans le quartier gitan de Triana (Séville), Herminia Borja chante dès son plus jeune âge dans les fêtes familiales et privées avant de se produire dans les tablaos sévillans comme Los Gallos, El Arenal, La Bulería, etc. Elle a chanté pour Manuela Carrasco, Antonio Canales, Rocío Jurado, ainsi que Paco de Lucía qui l'a emmenée dans sa dernière tournée. Elle a participé aux disques de la Niña Pastori, Marina Heredia, La Tana et el Pele.

La carrière de Carmen Ledesma est plus qu'impressionnante. Elle a dansé dans les compagnies de Mario Maya, Farruco, Curro Valez, Antonio Gadès, a gagné de nombreux prix distinctifs dont l'un porte aujourd'hui son nom.


Au-delà de la Scène

Une semaine de conférences
Bar du Théâtre - 12h30. Accès libre. Durée 1h environ
Petite restauration sur place.


Israel Galván, la danse en solo
Par Corinne Frayssinet-Savy

Lundi 18 janvier
Depuis 1998, Israel Galván transfigure la danse soliste flamenca en danse en solo. Il défie toute posture
artistique. Il réévalue la conception dominante depuis l’époque des cafés cantantes (cafés concerts) du spectacle de numéros de danse flamenca. Il réinvestit le solo initié brièvement dans les années vingt par Antonia Mercé La Argentina et Vicente Escudero. Israel Galván conçoit la danse comme une proposition, une gageure.
Corinne Frayssinet-Savy, ethnomusicologue spécialiste du flamenco, universitaire et musicienne, est l’auteur de plusieurs articles de référence et du livre Israel Galván, danser le silence publié aux éditions Actes Sud (juillet 2009).

( 2 . 3 ) + ( 3 . 2 ) = 12 : Compases, palmas et golpes
Par Claude Worms, mise en images Nicolas Villodre
Mardi 19 janvier

Certaines formes constituant le répertoire flamenco sont identifiables par leur compás (cycle métricorythmique). À partir d’exemples tirés d’interprétations emblématiques (chant, guitare, et danse), le film présente des réalisations de compases de douze temps (Guajira, Petenera, Soleá, Alegrías, Siguiriya, Bulerías…). Nous nous limiterons aux performances les plus instinctives et intuitives, produites directement par la gestuelle corporelle : palmas, golpes, battue du pied…
Claude Worms, professeur de guitare à Paris, compositeur, rédacteur en chef de la revue flamencoweb, est le grand spécialiste français de la guitare flamenca et l’auteur de très nombreux ouvrages dont d’importantes études sur les figures du toque.

Rite et géographie du Cante *
Par José María Velázquez-Gaztelu
Mercredi 20 janvier
Cette conférence revient, à l’aide d’un documentaire, sur le fameux programme de la télévision espagnole Rito y Geoite et géographie du cante qui se lançait, dans les années soixante-dix, dans un véritable travail d’enquête musicale sur les lieux mêmes du chant flamenco, révélant les grands noms d’alors, Manolo Caracol ou Pepe Marchena et les nouveaux venus: Paco de Lucía, Camarón, Manolo Sanlúcar, Morente…
Écrivain et poète de Cadix, José María Velázquez-Gaztelu est aussi le co-scénariste et flamencologue des 113 programmes de TVE Rito y Geografía del Cante et Rito y Geografía del Baile. Grand conférencier international, il dirige le programme Nuestro Flamenco, sur la Radio nacional de España.

Los Cantes de Jerez *
Par José María Castaño
Jeudi 21 janvier

Cette conférence didactique offre un parcours à travers les styles de chant de l’école de Jerez. Elle prend pour départ les circonstances historiques qui permirent l’émergence, en son sein, du chant en tant qu’expression. Elle en décrit les caractéristiques principales en s’appuyant sur les exemples des personnes qui se sont illustrées depuis les origines jusqu’à aujourd’hui : un chant singulier, une appellation d’origine.
Né à Jerez de la Frontera, José María Castaño est licencié en droit et conférencier. Il dirige depuis 17 ans leprogramme radiophonique Los Caminos del Cante (les chemins du chant). Il intervient dans la presse et a publié des livres spécialisés : La elegancia del duende et De Jerez y sus Cantes.



Jesús Antonio Pulpón, un personnage clé du Flamenco du xxe siècle *
Par Carmen Pulpón
Vendredi 22 janvier

Une évocation analytique de Jesús Antonio Pulpón González, personnage clé de la diffusion et de la valorisation, nationale et internationale, du flamenco des années 1950-1990. Revenir sur cette figure permet d’évoquer les festivals flamencos, les échecs et les succès de Pulpón González, son oeuvre « d’impresario », à travers les points de vue de différents artistes et acteurs de son époque et de sa trajectoire professionnelle. A l’issue de la conférence, projection de Sindrome de pies y manos de Jesús Pulpón (fils), 2009, 13 mn.
Carmen Penélope Pulpón Jiménez est licenciée en histoire contemporaine (Université de Séville) et s’est
spécialisée dans l’étude de la danse flamenca, de « la femme dans le flamenco ». Membre de l’Agence andalouse pour le développement du flamenco, elle est aussi auteur d’articles. Elle vit et enseigne à Jerez.

* Conférence en espagnol traduite en français par Nadia Messaoudi

La librairie Goyard, partenaire du Festival Flamenco, proposera des ouvrages spécialisés lors de chaque spectacle au Théâtre et lors des conférences.

Et aussi
Rencontres
Avec les photographes Stéphane Barbier, Jean-Louis Duzert, Steve Kahn et Pascal Vecchi
Samedi 16 janvier à 11h30 - Bar du Théâtre
Forum Fnac avec Jacques Maigne,
auteur de Flamenco en flammes, éd. Atelier Baie en présence de Fosforito et Diego Carrasco, sousréserve.
Mercredi 20 janvier à 17h30 - Fnac de Nîmes
Avec Fosforito
Samedi 23 janvier à 11h30 - Bar du Théâtre
Classes de danse
Niveau moyen et confirmé - Durée 3h
Par Javier Barón
Samedi 16 janvier à 10h - Soleá por bulerías
Dimanche 17 janvier à 10h - Tangos
Par José Galván
Vendredi 22 janvier à 17h - Tientos
Samedi 23 janvier à 10h - Garrotín
Renseignements / Inscriptions Service des relations avec le public 04 66 36 65 00
Projections sur la façade de la Maison Carrée
Photographies de Stéphane Barbier, Jean-Louis Duzert, Steve Kahn et Pascal Vecchi
Samedi 9 janvier, puis du 11 au 23 janvier à partir de 18h. Accès libre.
Cinéma documentaire
Israel Galván, l’accent andalou
Un film de Maria Reggiani, 2009, 52 mn
Coproduction ARTE France, Les Films d’Ici En partenariat avec ARTE actions culturelles
Travail, réflexion, naissance du mouvement, dialogue avec ses compagnons de route, ses musiciens, retour sur le passé de ses créations et de ses influences… Le film suit la ligne tendue de cette parole économe et de cette position unique qu’Israel Galván occupe dans le paysage de la danse actuelle.
Dimanche 17 janvier à 11h avec une introduction de Corinne Frayssinet-Savy
Lundi 18 janvier à 20h Cinéma Le Sémaphore, 25 rue Porte de France. Accès libre sur réservation au Théâtre et au Sémaphore.



Lecture
Le Danseur des solitudes (extraits) de Georges Didi-Huberman et autres textes
Par Evelyne Didi-Huberman et Georges Didi-Huberman
Il ne s’agit que de regarder et de décrire philosophiquement, autant que faire se peut, un grand danseur de baile jondo, Israel Galván.Il s’agit de reconnaître dans son art contemporain un art de « naissance de la tragédie ». Il s’agit d’écouter son rythme et de reconnaître dans sesmots – au moins trois d’entre eux : la jondura ou « profondeur », le rematar ou l’art de « mettre fin » et le templar, intraduisible – de grands concepts esthétiques que notre esthétique ignore encore.
Historien de l’art et philosophe, Georges Didi-Huberman enseigne à l’École des hautes études en sciences
sociales.
Lundi 18 janvier à 18h - Bar du Théâtre. Accès libre dans la limite des places disponibles.
Atelier en famille à partir de 6 ans, autour du spectacle Con Pasaporte Flamenco
Samedi 9 janvier de 10h30 à 12h, Fnac de Nîmes, sur inscription.
Flamenco en flammes. Flamenco en llamas
Jacques Maigne
À l’occasion des 20 ans du festival flamenco à Nîmes, cet ouvrage s’interroge : pourquoi une cité comme Nîmes, haut-lieu d’archéologie romaine et place forte de la tauromachie française, s’est elle ainsi ouverte au flamenco, l’art identitaire de la lointaine Andalousie ? Le livre retrace les débuts héroïques du premier concours jamais organisé hors d’Espagne et les grandes soirées d’émotion des festivals les plus récents. Au Théâtre de Nîmes, c’est tout le flamenco de ce temps qui, chaque hiver, a enflammé la ville. De nombreuses photos rendent hommage à tous les grands chanteurs, danseurs ou guitaristes qui ont depuis vingt ans, posé pied à Nîmes. Enfin le livre découvre le flamenco sur ses terres, au quotidien, là où depuis des siècles il coule de source : en Andalousie.



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du 7 au 16 janvier

du 17 au 22 janvier

le 23 janvier et au-delà de la scène