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Articles et reportages 2014
Dos Glorias Dos…
Quand du fond de l’humilité on est capable de nous emmener vers des temps originels du flamenco sans jouer de la voix, c’est que l’on est dans une pureté qui de racines est sève de savoir pour faire briller ce flamenco que nous connaissons aujourd’hui. C’est tout cela et beaucoup plus que ces deux humbles artisans et cantaores por derecho nous ont fait partager. Des letras contenues dans leurs entrailles qu’elles soient de Triana, d’Utrera de celui-ci ou de celui-là… Soleá apolá o de Triana, peu importe dans le fond, mais sí, en même temps dans la transmission orale, il était important…. Silverio, El Arenero et les autres… Je pense qu’ils seraient encore là ces deux patriarches à nous parler et nous donner un cours magistral, sans éclat de voix, mais comme si nous étions dans une « peña »… ou dans l’atelier de « El Zapatero ». Ce sont des moments indicibles pour ceux qui étaient là que de voir couler de cette source de savoir. Le toque de Dani de Morón en plus, « entregao », mais avec sa touche personnelle…
De tu fuente yo agua bebería
Hasta que me emborrache
Porque de tu sabiduría
No hay quien me aparte
Con Arte
Dos Glorias Dos
… y una bajañí
… de Morón…
M. Morillas
Galerie photos : Festival Flamenco de Nîmes, Márquez El Zapatero, Antonio Ruiz El Carpintero,
Dani de Móron cliquez ici
Dossier de presse Festival Flamenco de Nîmes 2014 cliquez ici
Márquez El Zapatero, Antonio Ruiz El Carpintero, Dani de Móron
Dos glorias dos
18 janvier
Institut Emmanuel d'Alzon